Il découvrait devant lui un ciel éclatant, à ses pieds un lac, tout autour un horizon lumineux et si vaste qu’il semblait sans bornes (…) Quel était donc ce banquet, cette fête sans fin vers laquelle il se sentait attiré depuis longtemps, depuis toujours, depuis son enfance, sans jamais pouvoir y prendre part ?
Fédor Dostoïevski, L’Idiot, Folio classique, édition 1999, page 515. Traduction Albert Mousset, 1953
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